Epigraphe
Oubliez moi, musicien joyeux, poète triste;
que rien ne reste que rien ne subsiste,
que ma matière se perde dans l'immensité du néant,
que mon passé se voile dans l'intensité du présent.
Oubliez moi, musicien joyeux, poète triste;
tournez, dansez, la vie est un bal,
finit bien, finit mal.
Courrez, sautez, la vie est un jeu,
attrape qui peut!
Inzender: S. S., 6 mei 2003
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